Chapter 4464
Chapitre 4464
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Clement a acquiesce et est sorti de l’ascenseur avec Margot. Ils ont alors vu deux jeunes femmes belles et élancées, vêtues de courtes jupes et d’uniformes, se pencher respectueusement à l’entrée de l’ascenseur et dire:
Bonjour, monsieur le président!
Margot a immédiatement désigné Clément et a dit aux deux femmes:
-Lut, c’est mon VIP M. Clément, présentez–vous vite à lui!
Les deux femmes se sont empressées de dire d’une seule voix:
Bonjour, M. Clément !
Clément a esquissé un sourire, puis a sulvi Margot jusqu’à son bureau.
Il était intéressant de noter qu’en chemin, ils ont croisé au moins sept ou huit autres employées, toutes habillées de la même manière et arborant la même allure. En dehors de cela, il était presque impossible de voir des hommes sur ce même étage.
Alors Clément a demandé avec intérêt :
Pourquoi tous les employés ici sont–ils des femmes, M. Margot 7
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Margot a expliqué avec un sourire:
La plupart de mes employées sont des anciennes hôtesses de l’air ou anciennes candidates au concours de beauté, elles mesurent toutes au moins un mètre soixante–quinze, et elles ont moins de vingt–huit ans. Je leur verse un salaire double, mais je ne leur demande pas d’occuper des postes importants. Elles se présentent devant moi bien habillées, me saluent de manière élégante et me fournissent un service de qualité.
Il a ajouté, craignant que Clément ne se méprenne:
1. Clément, je tiens à préciser que ce type de service est absolument legal, c’est simplement un service quotidien, normal et sain Clément a répondu avec indifférence:
-Avant de venir, j’avais déjà une idée de ton style de gestion, M. Margot, donc tu n’as pas besoin de t’expliquer de manière explicite. Margot a ride manière embarrassée, en se grattant la tête:
-Ah, les gens ont toujours quelques malentendus & mon sujet. M. Clément, si vous entendez quelque chose d’absurde, ne le prenez pas au sérieux. – D’accord.
Clément s’est assis sur le canapé et a dit en passant
-M. Margot, parlons plutôt de choses sérieuses. Comment envisages–tu de coopérer avec le Nakappuis ?
Margot ne s’attendait pas à ce que Clément aborde immédiatement le sujet, il a donc rapidement répondu avec empressement
-Eh bien, M. Clément, j’ai également une compagnie de transport maritime, mais elle ne fonctionne pas très bien et gaspille beaucoup d’argent. Jaimerais done approfondir notre coopération avec le Nakappuis pour prendre en charge certains des ordres qu’ils ne peuvent pas remplir Clément a répondu calmement
-Ce genre de coopération n’est bien sûr pas un problème, mais la question clé est de savoir combien de bénéfices tu es prêt à ceder au Nakappuis. Margot a réfléchi un moment, puis a dit avec hésitation
חנה
-Et si c’était trente pour cent ? Vous n’auriez aucune responsabilité à assumer qua me confier les commandes non remplies, et je vous donner trente pour cent du fret..
-Trente pour cent ? Clément ari, si c’est tout ce que vous étes prêt à offrir, alors je crains que nous ne puissions pas discussion.
aller
er plus loin dans cette
Margot a été pris au dépourvu et a rapidement dit:
–
Oh, M. Clément, tout cela peut être discuté. Combien de part que je donnerai ne compte pas pour moi. Je veux plutôt me lier d’amitié avec vous, et si cela ne vous convient pas, je suis prêt à partager moitiémoitié!
Clément a souli
-Eh bien, je vous donne un peu de temps pour y réfléchic, présentez–moi votre offre une fois que vous aurez pris une décision.
Margot, ne sachant pas exactement ce à quoi s’attendait Clément, a simplement acquiesce en disant:
–
-Bien sûr, bien sûr, nous pourrons en discuter plus tard.
Juste au moment où ils terminalent cette discussion, une belle femme est entrée en frappant à la porte et a dit respectueusement
-Excusez–mal, monsieur le président, M. Colin està il a également amené deux belles très jeunes et voulait vous les présenter. Je lui ai dit que vous étiez occupé, mais il veut demander si vous pouvez le rencontrer,
Margot a eu l’air extrêmement embarrassé et a agité la main en disant:
Non, dis lui que j’ai un imité important, je ne suis pas disponible ! Dis–lu de partir |
Celada, a jeté un coup d’œil à Clément et a murmure exprès :
Oh mon dieu, cet enfoiré de Colin, pourquoi vient–il toujours me déranger pour rien? Il fait comme s’il était très proche de mai.
Clément a éclaté de rire:
-M. Margot, avec ta fréquentation régulière du monde du divertissement, ton jeu d’acteur est vraiment pitoyable
Margot était tellement embarrassé qu’il aurait aime disparaître, mais il a garde son calme et a dit d’un ton force -Non pas du tout, M. Clément, je ne suis vraiment pas proche de ce cercle
Clément a agité la main pour l’interrompre:
-Laisse tomber, puisque c’est ton bon ami, il n’y a aucune raison de le chasser. Peut–être devrais–tu le présenter à moi,
Margot a regardé Clément avec surprise, se disant intérieurement !
Je pensais que ce gars était un homme vertueux, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi un compagnon de même nature, plein de grands discours moraux, mais en réalité un complice des trafiquants et des prostituées. Il doit avoir eu vent du fait que Colin a amené deux jeunes belles ici, c’est pourquoi il a eu cette idée…»
Avec cette pensée en tête, il a changé son attitude, souriant à son secrétaire en disant :
Vite, fais entrer M. Colin et ses invitées!